Peut on vivre des actions à dividende ?
Peut-on vivre des actions à dividendes ?
Dans les 2010, j’ai commencé à créer une telle rente parce que la bourse a un avantage ultime sur les autres marchés : son aspect virtuel. En quelques clics, tout peut être géré depuis un ordinateur. Bien entendu, ce n’est pas pour cela qu’il est facile de constituer une telle rente. Rappelons que le fait d’investir en bourse permet de développer son autonomie financière tout en utilisant les fonds dont on dispose. À ce stade, il est différent de l’immobilier, qui vous permet d’utiliser des fonds bancaires pour investir et créer des flux de trésorerie. Par conséquent, investir en bourse est un bon moyen d’utiliser votre capital pour créer des revenus alternatifs et passifs. Mais il a besoin de capitaux pour investir.
Ensuite, il doit faire le bon choix dans la sélection des médias. Je n’aborderai pas ces points ici car ce ne sont pas des objectifs, mais ils sont décisifs. Vous pouvez lire les questions suivantes dans cet article : Comment vivre du bonus ?
De combien d’investissement pouvons-nous vivre en bourse ?
Dans cette méthode inverse, vous devez considérer les impôts et d’abord calculer le montant total à générer pour obtenir le revenu net requis. Ensuite, pour la deuxième étape, tout est basé sur des hypothèses de rendement. Pour faire une prédiction pour vous, basons-la sur un rendement total de 6%. Ce n’est pas élevé, mais avec la baisse du rendement, une marge brute de 6% est un bon résultat aujourd’hui. En liant votre objectif à un taux de rendement de 0,06, vous pouvez obtenir des fonds d’investissement. Il ne reste plus qu’à déterminer le montant de la rente nécessaire. Donnons deux exemples : 500 euros par mois (revenu supplémentaire) ; 1 500 euros par mois (revenu principal). À première vue, 1 500 euros, ce n’est pas une grosse somme. Cependant, il s’agit d’un montant relativement attractif par rapport à la situation de la plupart des Français, par exemple, le montant moyen de la retraite en France est de 1 150 euros net. Le salaire minimum net en France est de 1 200 euros. Vous bénéficiez ainsi d’une marge attractive et d’un revenu boursier mensuel de 1 500 euros. Bien sûr, il est toujours possible de produire plus. Entre autres, tout dépend de vos objectifs, du rendement de votre portefeuille d’investissement, du capital investi, de l’impact des impôts, etc. De plus, pour réaliser un bénéfice net de 500 euros, il faut générer 715 euros taxés à 30%. Pour générer 715 euros avec un taux de profit de 6%, il vous faut environ 140 000 euros de capital. De plus, pour obtenir un montant net de 1 500 euros, il faut générer 2 200 euros et seront taxés à 30%. Pour générer 2 200 euros avec une rentabilité de 6 %, il faut environ 450 000 euros de capital. Cela a l’air énorme, mais cela permet de gagner plus de revenus que la plupart des Français ne gagnent plus de 40 ans après la retraite. Il est vrai que la retraite est a priori assez stable, et en investissant dans des sociétés cotées en bourse, vous générerez des revenus variables. Mais les dividendes constituent toujours une part relativement stable des revenus boursiers. Maintenant que l’on connaît le montant de l’investissement, on va pouvoir déterminer l’effort d’épargne qu’il représente et la durée nécessaire pour l’atteindre.
Comment facturer cet argent ?
L’investissement immobilier peut être un énorme accélérateur. L’idée est d’acquérir un bien immobilier, de le rénover, puis de le revendre pour générer des plus-values intéressantes pouvant être investies en bourse. La deuxième méthode que tout investisseur peut utiliser consiste à utiliser votre épargne mensuelle pour investir en bourse. En prenant comme référence un capital de départ de 10 000 euros, auquel s’ajoute une épargne mensuelle de 1 250 euros, sur une durée de 15 ans, pour lever les fonds nécessaires pour vivre en bourse dans 15 ans. Bien sûr, vous pouvez ajuster ce plan en fonction de vos objectifs de performance et de votre situation personnelle : épargner plus longtemps (20-25 ans), réduire les objectifs, essayer d’obtenir de meilleurs rendements, etc.
Je dois mettre en garde ici : investir en bourse n’est pas pour tout le monde. Ce type d’investissement financier requiert une bonne attitude, une envie de se creuser la tête et l’énergie nécessaire pour développer des compétences. Investir en bourse, c’est aussi prendre des risques. L’éventuelle perte de capital ne peut être ignorée, c’est pourquoi la règle n°1 est de n’investir que l’argent qui n’est pas nécessaire en bourse. Même le type de méthode que j’utilise limite le risque de perte en capital car c’est une bonne méthode et à moyen/long terme (le marché a tendance à monter à moyen/long terme).
Qu’adviendra-t-il d’une petite quantité ?
Si vous ne pouvez pas mettre immédiatement 1 250 euros par mois en bourse, rien ne garantit que vous ne pourrez pas le faire dans quelques années. Ce qui compte, c’est dans quelle direction vous allez. Lorsque vous essayez de développer votre intelligence financière, vous avez la possibilité de vous créer des revenus alternatifs et passifs, voire même plus que ce que vous imaginiez au départ. Mais pour le plaisir, voyons ce qui se passe lorsque les économies sont réduites. Partons de la même hypothèse : vous avez levé un petit capital de départ de 10 000 euros. En économisant 150 euros par mois en 15 ans à un taux de profit de 6%, vous investirez 68 000 euros sur le marché financier. C’est déjà un énorme atout, mais on est loin du cas précédent, surtout parce que…
L’effet boule de neige des intérêts composés
Ces capitaux généreront effectivement des intérêts, et pendant toute la période d’investissement, les intérêts eux-mêmes généreront également des intérêts. C’est l’effet boule de neige correspondant aux intérêts composés. En somme, nous pouvons comprendre que cet effet boule de neige est particulier. En savoir plus.
Avec elle, vous savez tout ! Maintenant c’est ton tour ! Si vous avez besoin d’aide, je peux vous former et vous aider à constituer un portefeuille d’investissement financièrement libre. Vous pouvez également retrouver chaque mois ma newsletter dividendes et opportunités, dans laquelle je signale les meilleures entreprises qui offrent des dividendes stables et les meilleures opportunités de plus-values à moyen/long terme.